Bilan du projet « Femmes et bien-être au musée Bourdelle »

Organisé par le Musée Bourdelle et Paris Musées grâce au généreux soutien de la Fondation Nexity, le programme a été structuré en 3 sessions de 5 séances chacune, impliquant différents acteurs et structures du champ social.

La première session a été conduite avec un groupe de femmes mobilisées par les assistantes sociales du 15ème arrondissement, du 14 mars au 11 avril. La deuxième session, impliquant l’association EVS Necker-Falguière, a été organisée du 11 juin au 9 juillet. La troisième session, a été enfin organisée du 14 novembre au 12 décembre en synergie avec les associations Aurore et Habitat et Humanisme Île-de-France, des groupes de femmes résidant dans la Pension de famille Vaugirard et dans la Maison Saint-Charles. 

Au cours de chaque session, ont été proposées les activités suivantes : 

• Un atelier de socio-esthétique proposé par l’association Le Camping-Care, pour accompagner les femmes dans la création de soins cosmétiques à base d’argile ;
• Un atelier de modelage sur le thème du corps féminin, conduit par une plasticienne du musée Bourdelle ;
• Une séance de yoga inclusif, conduite par l’association NOUR ;
• Une visite-promenade dans le musée menée par l'une des nos intervenantes, avec une découverte tactile des œuvres ;
• Une initiation à la sophrologie et à la méditation par la sophrologue Gaëlle Piton, en dialogue avec les œuvres de Bourdelle. 

Un programme complet, dont les bienfaits se font ressentir, comme témoigné par les participantes : 

« C’est la première fois que je viens dans un musée, ça fait 12 ans que je suis en France. Je suis très impressionnée, toutes ces statues en arrivant ! C’est très beau ! » 

« Avec les enfants, le travail, on n’a pas de moments pour soi, pour rencontrer d’autres personnes… Ce projet nous permet de partager des moments toutes ensemble ! » 

« Ces sorties en groupe, c’est une respiration pour moi. C’est une grande évasion ! » 

« J’ai aimé l’écoute qu’il y avait, on était dans l’écoute active, c’est rare ». 

« J’étais comme chez moi, ça y est, on est une famille ! »